Des médias sud-africains ont fait état de négociations entre Zamalek et Pitso Mosimane concernant la possibilité qu’il prenne la relève du White Castle prochainement en cas de limogeage de l’entraîneur belge Yannick Ferreira.
On s’attend désormais à ce que Ferreira soit évincé si Zamalek trébuche contre Al-Bank Al-Ahly ou Tala’ea El-Geish, ou s’il ne parvient pas à mener Zamalek au titre de la Supercoupe d’Égypte, où les White Knights affronteront le Pyramids FC en demi-finale le 6 novembre.
Mosimane a récemment quitté son poste d’entraîneur d’Esteghlal Téhéran en raison de la crise financière du club iranien. Selon certaines sources, il se réjouit de son retour en Premier League égyptienne et de son retour à la tête du Zamalek.
Une source fiable au sein du Zamalek a répondu à ces rumeurs, confirmant qu’elles sont totalement infondées.
L’entraîneur actuel, Ferreira, bénéficie du soutien total du conseil d’administration du Zamalek et de son directeur sportif, John Edward, et il n’est pas question de le licencier. Contrairement à ce qu’affirme la presse sud-africaine, aucun contact n’a été établi avec Mosimane.
John Edward, en particulier, est déterminé à donner toute sa chance à Ferreira, compte tenu des graves difficultés rencontrées par l’entraîneur en raison de la crise financière. Il n’a donc aucune intention de le licencier et souhaite qu’il reste au moins jusqu’à la fin de la saison en cours.
Il convient de noter que le Zamalek a glissé à la cinquième place du classement de la Premier League égyptienne, mais a réussi à atteindre la phase de groupes de la Coupe de la Confédération de la CAF après avoir battu les Somaliens de Dekedaha (7-0 au total des deux matchs) en seizièmes de finale.




